10 Décembre 2014
Comme promis à nos amis Bruno et Bruno (hé oui!) la photo en 1 avec le pied que j'ai fait pour supporter ma kényane.
Des échancrures sur le côté permettent de laisser libre le passage du volet qui est en dessous du plancher grillagé et qui permet de ventiler plus ou moins la ruche.
Les pieds sont noirs car faits en sapin non traité je les trempe dans de l'huile de vidange que je laisse bien égoutter. Après cela ils résistent très bien aux insecte et moisissures sans, en apparence, gêner les abeilles, au bout de quelques temps ils prennent une couleur grise qui est moins choquante!!!!
La photo (2) dont nous parlions dans l'article précédant est celle d'une ruche prise en Afrique ou la simplicité et la réduction du coût est un facteur important.
Par contre une surprise!!!!
J'ai trouvé ce vieux pétrin ,ou maie selon les endroits ,chez Emaüs d(ont je soutiens toujours les action et je vais la transformer en ... devinez !!! kényane.
Je languis de savoir ce que ça va donner avec des angles qui ne correspondent pas au nombre sacré de 120°... à suivre au printemps.
PS : à noter que la ruche Africaine est très étroite, je pense que celà doit permettre d'avoir des rayons plus petits, donc moins lourds, qui ne s'écroulent pas sous le poids du miel et de la température élevée. Ces ruches ont, le plus souvent, une entrée centrale sur le côté.